Qui suis-je?



Je m'appelle Mariane Cayer et je suis née en 1982 à St-Hyacinthe, petite ville de la lointaine banlieue montréalaise.  Ma mère m'a souvent raconté que désireuse de me transmettre le goût de la lecture le plus tôt possible, elle m'a mis entre les mains mes premiers livres cartonnés vers l'âge de 8 mois.  Pour ma part, j'ai littéralement dévoré ceux-ci: ils ont en effet été très utiles pour me faire les dents...

Dès que j'ai su lire, j'ai débuté une longue carrière de lectrice.  Apprendre à lire a été pour moi comme tomber dans un bain que je connaissais déjà, ça a été d'une telle facilité, le plus dur consistant essentiellement dès cette époque à me faire lâcher les livres...  Déjà au primaire, j'ai commencé à lire des ouvrages dépassant largement les habituelles capacités de lecture des jeunes de mon âge.  Je me rappelle avoir lu tous les livres de la Comtesse de Ségur en troisième année et Notre-Dame de Paris vers la fin de mon cours primaire.  Énormément de BDs aussi, ma chère grand-mère nous ayant acheté l'intégrale des Astérix et Obélix ainsi que des Tintins, sans compter Yoko Tsuno et tous les autres que j'ai lu à l'époque.  Arrivée au secondaire, j'ai eu accès à une excellente bibliothèque où je me suis mise à dévorer les livres, tant classiques que contemporain.  J'étais à l'époque adepte des grands cycles romanesque historique: Les enfants de la terre de Jean M. Auel, Le Juge d'Égypte de Christian Jacq, Les Filles de Caleb d'Arlette Cousture n'ont été que quelques-unes des séries que j'ai dévoré à cette époque.

Malgré ma passion, je me suis dirigée davantage vers l'histoire et la géographie que vers la littérature par la suite.  J'ai complété un baccalauréat en enseignement au secondaire concentration sciences humaines en 2006 à l'UQÀM.  Mais un an au tableau noir a suffit à me convaincre que ce n'était pas ma place.  J'ai alors pris un temps de recul avant de me diriger vers un domaine que j'avais toujours adoré: le monde littéraire.  J'ai travaillé à la Librairie Daigneault à Saint-Hyacinthe de 2008 à 2013 en temps que libraire.  De plus, j'ai collaboré à la même époque avec la revue Le libraire, où j'ai fais la rédaction de craques (mini-critique de livres) et eu l'occasion de signer quelques articles.  J'ai également été chroniqueuse littéraire à l'émission Autrement vue de Télé-Cogeco Saint-Hyacinthe à l'automne 2010 où j'ai fait la présentation de différents livres pour tous les publics ainsi qu'un certain nombre d'entrevues avec des auteurs au rythme d'une chronique par semaine.  J'ai collaboré à la revue Brins d'éternité et à la revue Solaris en temps que critique entre 2012 et 2014.

En 2013, grand changement pour moi: j'ai quitté la librairie pour un travail de représentante pour un distributeur de livre... en librairie!  En 2014, nouveau détour professionnel, puisque j'ai quitté le milieu du livre pour me joindre à une compagnie en informatique.  Je reste près du milieu du livre tout de même grâce à de nombreuses activités.  On aime le livre ou on aime pas!

La littérature et le livre en général sont de véritables passions qui me font vibrer dans la vie.  Autant en personne que sur le net, je suis une personne intarissable quand il s'agit de parler bouquins!  Mon autre grande passion est pour les chats, ces adorables petites boules de poils qui me font littéralement fondre!  Je partage d'ailleurs ma vie avec deux exemplaires d'entre eux qui sont particulièrement choyées, il faut le dire!  D'ailleurs, mon pseudonyme Internet est le nom de l'une d'entre elle, l'autre a pour nom Patchoulie.  Ce n'est pas pour rien que je suis adepte de livres parlant de chats ;)  Si vous voulez compléter le portrait, dites-vous que je suis une fan d'arts martiaux, avec une prédilection pour le jiu-jitsu brésilien.  Tranquille la vie de lecteur?  Pas pour moi!

Depuis 2018, je me suis lancée dans le tourbillon en prenant la plume à mon tour.  Mon premier texte est paru dans la revue Solaris en août 2018, suite à ma victoire au Concours d'écriture sur place du Congrès Boréal 2018.  Je travaille maintenant pour que cela ne soit pas l'unique fois que mon nom paraisse sur une couverture!


Photos: François Girouard